Voilà, nous sommes rentrés ! Adieu le Japon et ses fleurs de cerisiers volantes... Adieu les souriantes Japonaises nous accueillant à coups de "maché maché"... Le Japon va nous manquer, ça s'est sûr. D'ailleurs, la preuve, c'est qu'on n'a pas pu s'empêcher de boire un thé vert aux fleurs de sakura cet après-midi, dans la belle théière et les tasses que nous avons achetées là-bas. Nous qui pensions que nous ne pourrions plus avaler une goutte de thé vert pendant au moins un mois tant on en avait bu des litres et des litres là-bas !
Le retour fut bien long. On se serait bien passé du transfert par Rome, d'autant plus que l'avion venant d'Osaka a quasiment survolé la France avant de redescendre vers l'Italie : si on avait pris un vol direct, on aurait au moins gagné trois heures de temps transport. Voire plus : les Italiens nous ont fait une petite surprise lors de la petite heure de transit dans la capitale italienne. Ils ont en effet trouvé le moyen d'égarer nos sacs ! Mais on a eu de la chance dans notre malheur : après une longue attente devant un des tapis roulants à valises de Roissy, nous avons pu récupérer deux de nos trois bagages et nous avons fait un dossier de réclamation auprès du service de l'aéroport qui s'occupe des bagages perdus. Nous avons dû décrire notre bagage, un peu particulier : deux chaises japonaises en bois, sans pieds, enveloppées dans du papier kraft. Hé oui, l'envie subite nous a pris de vouloir prolonger l'ambiance ryokan à Paris et de ramener ces drôles de chaises avec lesquelles on peut s'asseoir par terre, tout en appuyant son dos sur un dossier, comme celles qu'on avait dans le super ryokan de Bessho Onsen :
Les Italiens ont donc trouvé le moyen de se tromper quelque part et nous n'avons pu revenir hier soir à la maison avec nos nouvelles chaises. Nous n'étions pas les seuls à ne pas retrouver certains de nos bagages et à l'aéroport nous avons pu nous rappeler combien les Français savent s'énerver rapidement et manifester leur hargne vigoureusement ! Le type qui a enregistré notre réclamation s'est montré très pragmatique et a expliqué en guise d'excuse que l'affaire était monnaie courante avec l'aéroport de Rome. Sûr que si cela s'était passé au Japon, nous aurions eu une demie-douzaine d'employés en état d'alerte qui se seraient excusés à n'en plus finir en se courbant dans un angle à 90° !
Mais l'histoire a une fin heureuse. Nos chaises nous ont été livrées ce matin par un des services de Roissy. Nous avons pu déjà les essayer !
Nous avons ramené quantité de souvenirs et autres nipponeries. On a même dû acheter une valise supplémentaire pour pouvoir tout ramener ! Mais on ne peut pas dire que nous nous sommes ruinés. Nous avons assidûment fréquenté les "100 yen shop", magasins où tout est au prix dérisoire de 100 yen, soit moins d'un euro. C'est là que nous avons fait le plein de porcelaine japonaise, bols, tasses, théières et autres baguettes. Geisha Line s'est lâchée sur les Hello Kitty et Maître Moun sur les bonbons. Mes maîtres se sont aussi offerts de beaux yukata (pyjamas kimonos) et une reproduction d'estampe.On n'a pas encore complètement fini de se remettre des 8 heures de décalage horaires, des 15 heures de vols et des 24 heures passées sans dormir. Heureusement que nous ne reprenions pas le travail aujourd'hui. Hélas, tout a une fin : demain, Geisha Line et Maître Moun devront retrouver leur bureau. Moi, je pourrai tranquillement boire quelques tasses de thé à la maison, profitant de l'absence (pour deux jours seulement) du ninja, encore chez ses maîtres adoptifs !
Les Italiens ont donc trouvé le moyen de se tromper quelque part et nous n'avons pu revenir hier soir à la maison avec nos nouvelles chaises. Nous n'étions pas les seuls à ne pas retrouver certains de nos bagages et à l'aéroport nous avons pu nous rappeler combien les Français savent s'énerver rapidement et manifester leur hargne vigoureusement ! Le type qui a enregistré notre réclamation s'est montré très pragmatique et a expliqué en guise d'excuse que l'affaire était monnaie courante avec l'aéroport de Rome. Sûr que si cela s'était passé au Japon, nous aurions eu une demie-douzaine d'employés en état d'alerte qui se seraient excusés à n'en plus finir en se courbant dans un angle à 90° !
Mais l'histoire a une fin heureuse. Nos chaises nous ont été livrées ce matin par un des services de Roissy. Nous avons pu déjà les essayer !
Nous avons ramené quantité de souvenirs et autres nipponeries. On a même dû acheter une valise supplémentaire pour pouvoir tout ramener ! Mais on ne peut pas dire que nous nous sommes ruinés. Nous avons assidûment fréquenté les "100 yen shop", magasins où tout est au prix dérisoire de 100 yen, soit moins d'un euro. C'est là que nous avons fait le plein de porcelaine japonaise, bols, tasses, théières et autres baguettes. Geisha Line s'est lâchée sur les Hello Kitty et Maître Moun sur les bonbons. Mes maîtres se sont aussi offerts de beaux yukata (pyjamas kimonos) et une reproduction d'estampe.On n'a pas encore complètement fini de se remettre des 8 heures de décalage horaires, des 15 heures de vols et des 24 heures passées sans dormir. Heureusement que nous ne reprenions pas le travail aujourd'hui. Hélas, tout a une fin : demain, Geisha Line et Maître Moun devront retrouver leur bureau. Moi, je pourrai tranquillement boire quelques tasses de thé à la maison, profitant de l'absence (pour deux jours seulement) du ninja, encore chez ses maîtres adoptifs !
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